France 5 nov 2012
gaz de schiste: le gouvernement ne reprendra pas la proposition gallois
le gouvernement ne retiendra pas parmi ses mesures pour relancer la compétitivité la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste, préconisée dans le rapport du commissaire à l'investissement, louis gallois, a-t-on appris lundi auprès de matignon.
afp - le gouvernement ne retiendra pas parmi ses mesures pour relancer la compétitivité la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste, préconisée dans le rapport du commissaire à l'investissement, louis gallois, a-t-on appris lundi auprès de matignon.

le rapport gallois a relancé lundi le débat sur les gaz de schiste, un dossier qui empoisonne la majorité, en plaidant pour la recherche de techniques alternatives à la fracturation hydraulique, une technique interdite en france et à laquelle l'exécutif avait réaffirmé son opposition en septembre.

l'ex-patron d'eads et de la sncf s'est ainsi fait l'écho des industriels, qui n'ont cessé de réclamer une réouverture du débat sur les gaz de schiste depuis l'interdiction en 2011 par l'ancienne majorité ump de la fracturation hydraulique, seule technique existante permettant d'extraire cette ressource non-conventionnelle du sous-sol.
avant même la publication du rapport, le ministre du redressement productif, arnaud montebourg, tout en réaffirmant l'opposition du gouvernement à la fracturation hydraulique, a dit vouloir "réfléchir" à l'exploitation du gaz de schiste, qui "sera certainement sur la table".

il a été rejoint par son collègue socialiste alain vidalies, ministre délégué aux relations avec le parlement, qui a assuré qu'au sein du gouvernement, personne ne pensait qu'il fallait écarter le gaz de schiste "pour l'éternité".

Gaz de schiste: le gouvernement ne reprendra pas la proposition gallois

le gouvernement ne retiendra pas parmi ses mesures pour relancer la compétitivité la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste, préconisée dans le rapport du commissaire à l'investissement, louis gallois, a-t-on appris lundi auprès de matignon.
afp - le gouvernement ne retiendra pas parmi ses mesures pour relancer la compétitivité la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste, préconisée dans le rapport du commissaire à l'investissement, louis gallois, a-t-on appris lundi auprès de matignon.

selon les services du premier ministre, "cette proposition n'est pas retenue, la ligne édictée par le président de la république lors de la conférence environnementale reste inchangée". jean-marc ayrault présentera mardi des premières mesures pour relancer la compétitivité.

le rapport gallois a relancé lundi le débat sur les gaz de schiste, un dossier qui empoisonne la majorité, en plaidant pour la recherche de techniques alternatives à la fracturation hydraulique, une technique interdite en france et à laquelle l'exécutif avait réaffirmé son opposition en septembre.

l'ex-patron d'eads et de la sncf s'est ainsi fait l'écho des industriels, qui n'ont cessé de réclamer une réouverture du débat sur les gaz de schiste depuis l'interdiction en 2011 par l'ancienne majorité ump de la fracturation hydraulique, seule technique existante permettant d'extraire cette ressource non-conventionnelle du sous-sol.

avant même la publication du rapport, le ministre du redressement productif, arnaud montebourg, tout en réaffirmant l'opposition du gouvernement à la fracturation hydraulique, a dit vouloir "réfléchir" à l'exploitation du gaz de schiste, qui "sera certainement sur la table".

il a été rejoint par son collègue socialiste alain vidalies, ministre délégué aux relations avec le parlement, qui a assuré qu'au sein du gouvernement, personne ne pensait qu'il fallait écarter le gaz de schiste "pour l'éternité".

ces prises de position ont déclenché l'ire de jean-vincent placé, président du groupe écologiste au sénat. "si le premier ministre reprend ces propositions du rapport gallois, il y aura une large fracture dans la majorité avec les écologistes", a-t-il mis en garde.

Gaz de schiste: le gouvernement ne reprendra pas la proposition gallois

le gouvernement ne retiendra pas parmi ses mesures pour relancer la compétitivité la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste, préconisée dans le rapport du commissaire à l'investissement, louis gallois, a-t-on appris lundi auprès de matignon.
afp - le gouvernement ne retiendra pas parmi ses mesures pour relancer la compétitivité la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste, préconisée dans le rapport du commissaire à l'investissement, louis gallois, a-t-on appris lundi auprès de matignon.

selon les services du premier ministre, "cette proposition n'est pas retenue, la ligne édictée par le président de la république lors de la conférence environnementale reste inchangée". jean-marc ayrault présentera mardi des premières mesures pour relancer la compétitivité.

le rapport gallois a relancé lundi le débat sur les gaz de schiste, un dossier qui empoisonne la majorité, en plaidant pour la recherche de techniques alternatives à la fracturation hydraulique, une technique interdite en france et à laquelle l'exécutif avait réaffirmé son opposition en septembre.

l'ex-patron d'eads et de la sncf s'est ainsi fait l'écho des industriels, qui n'ont cessé de réclamer une réouverture du débat sur les gaz de schiste depuis l'interdiction en 2011 par l'ancienne majorité ump de la fracturation hydraulique, seule technique existante permettant d'extraire cette ressource non-conventionnelle du sous-sol.

avant même la publication du rapport, le ministre du redressement productif, arnaud montebourg, tout en réaffirmant l'opposition du gouvernement à la fracturation hydraulique, a dit vouloir "réfléchir" à l'exploitation du gaz de schiste, qui "sera certainement sur la table".

il a été rejoint par son collègue socialiste alain vidalies, ministre délégué aux relations avec le parlement, qui a assuré qu'au sein du gouvernement, personne ne pensait qu'il fallait écarter le gaz de schiste "pour l'éternité".

ces prises de position ont déclenché l'ire de jean-vincent placé, président du groupe écologiste au sénat. "si le premier ministre reprend ces propositions du rapport gallois, il y aura une large fracture dans la majorité avec les écologistes", a-t-il mis en garde.

L'exploitation du gaz de schiste est très dangereuse pour l'environnement et la santé des individus et ceci jusqu'à preuve du contraire.
les procédés utilisés jusque là ne sont pas bien finalisés pour éviter un dérapage dangereux des différents effluents toxiques et cancérigènes . il suffit de voir la liste des produits injectés dont quelques uns restent inconnus , à une certaine profondeur ( 2 à 3 km ) de la terre et la pression ( de l'ordre des centaines de bars) pour en tirer des conclusions correctes et logiques.
et celui qui a des arguments solides qui prouvent que cette exploitation pourrait se réaliser sans danger , n'a que les présenter en toute transparence et sans aucun objectif politique, y compris les supposés spécialistes en ( géologie , biophysique , logie ou m^eme chakkharologie...) pour convaincre ses concitoyens tout d'abord et semer la tranquilité ainsi que nous épargner cette panique.

Ce potentiel de gaz n'est pas encore prouvé. il fallait des études géologiques et géophysiques afin de prouver ce potentiel. shell en tant grande compagnie mondiale dans la matière et étant considérées par tous les spécialistes comme étant une école dans l'exploration et la production de pétrole dans le monde entier. ces travaux d'exploration vont apporter à la tunisie un savoir faire et des investissements considérables.
les états unies américaines ont réussi à renouveler leur réserves en gaz de 60% de la rôche "bernet sahle" idem pour canada et d'autres pays de l'asie.
tous ces travaux sont toujours précédés par des études d'impactes sur l'environnement et ces travaux sont trés couteux où on utilise la haute technologie que ce soit dans la phase exploration que ce soit dans la phase production. en ce qui concerne la france la production est interdité pour des considérations géologiques du bassin de paris; il s'avère que la nappe fréatique est proche et on risque de l'endommager dans la phase production.

bref, laissez les spécialistes travailler et n'essayer pas de créer des faux problèmes qu'on manque pas dans nos jours.
jusqu'a maintenant les gents qui ont intervenu dans les médias et qui se présentent défenseur de l'environnement n'ont rien à voir avec le domaine et d'aprés leur paroles ils disent des monsonges qui visent à tromper l'opinion publique et par conséquent sa prouve qu'ils ne sont pas des spécialistes.

nb: les gents qui se proclament défendeur de l'environnement sont manipulé par le poct; ils ne sont pas innocent. vous vous croye que a tunisie est un pays developpé et qui peut par la vente d'un mirage rembourser les dégats faites par ces voyous ah!!!!!!!!!!!!!

La chaine francaise tf1 vient de montrer un documentaire sur l'extraction du gaz de schiste en zamérique. l'etat du dakota est très riche grache à l'extraction de ce gaz et il n'y a personne qui est contre et aucune gréve. pourtant les etats unis ne jouent pas avec la santé de leurs citoyens. bon, quand les français commenceront à extraire ce gaz, des voix de l'opposition se lèveront pour nous dire, pourquoi la tunisie n'a pas commencé à
utiliser ce minerai, et le gouvernement toujours en retard. on va attendre ce qui va se passer en france.

Nous avons dis à plusieurs reprises que l'exploitation du gaz de schiste est très dangereuse sur l'environnement et la santé de l'individu et nos experts l'ont confirmé ainsi que le désistement de la france ( à travers leur président ) prouve qu'un danger imminent est lié à cette exploitation.
ni la géologie ou l'hydrologie sont suffisantes pour analyser les faits , mais plut^ot '' la chakkharologie'' relatif à chakkhari qui est nécessaire pour prouver les bienfaits de cette technologie.
sur ce , nous disons que tous ceux qui défendent ce procédé et qui se croient compétents en la matière , seraient invités sur les plateaux de tv pour éclairer scientifiquement et de façon rigoureuse , précise et argumentée pour présenter les arguments pour cette technologie , avec une possibilté d'intervention du public.
mais , commencer l'exploitation et arr^eter dès le premier danger , relève de l'utopie .

Certains parlent de laisser le gouvernement travailler. c'est ce qui a été fait avec ben ali et on connait les résultats.
aujourd'hui, les scientifiques du monde entier rejettent ces procédés et alertent sur les dangers . la nekba nous dit tout est sous contrôle , circulez on veut l'argent , les conséquences de la pollution, pas notre problème.
qui paye les conséquences de la pollution à gabès, surtout pas ceux qui ont pris la décision qui se trouvent aujourd'hui dans des zones sécurisées le long des plages de la région du sahel .
alors amis et frères de kairouan bloquer ce projet et menacer de voter massivement contre enakba, vous verrez en moins d’une heure le projet sera abandonné. ennaka ne connait qu'un seul intérêt : le sien

Voila maintenant que les opposant au gouvernement deviennent tous des specialistes en geologie!!!

La géologie n.est pas donnée à tout le monde! taisez vous et laissez le gouvernement travailler

Lechef
je suis tout à fait d'accord.
un débat à haut niveau doit avoir lieu afin que chacun des citoyens puisse avoir une idée claire sur le sujet qui touche de prés tout un peuple.
le ministère doit comprendre ceci car il ne s'agit pas d'une simple usine à installer ou un projet à monter mais ça touche de prés la vie de la génération actuelle et des générations à venir.

Pourquoi le ministère de l'industrie avec la présence des conseillers de si chakkhari ( supposés spécialistes en la matière ) ne provoquent pas des débats télévisés en présence des spécialistes de la partie civile pour discuter ces problèmes cruciaux.
pourquoi attendre '' le premier danger pour arr^eter l'exploitation sachant que dans la littérature d'exploitation du gaz de schistes et des procédés utilisés jusque là , le danger est imminent et ceci attention sans parler des consommations énormes de l'eau ( 10 millions à 15 millions de litres par puit ) et là , il suffit de se rappeler des coupures en alimentation d'eau cette année en tunisie.
a mon avis , seuls des débats de haut niveau , pourraient nous épargner des catastrophes environnementaux dans le futur et ainsi , si chakkhari ne doit pas se presser à creuser plusieurs tombes supplémentaires pour ses concitoyens

Au revoir la nature, bonjour la pollution. adieu tunisia la verdure, place aux dégradations ! les ruisseaux, rivières et le grand bleu; ;;;;;;bref ! ils sont oû les écolégistes tunisiens ??????

Ce potentiel de gaz n'est pas encore prouvé. il fallait des études géologiques et géophysiques afin de prouver ce potentiel. shell en tant grande compagnie mondiale dans la matière et étant considérées par tous les spécialistes comme étant une école dans l'exploration et la production de pétrole dans le monde entier. ces travaux d'exploration vont apporter à la tunisie un savoir faire et des investissements considérables.
les états unies américaines ont réussi à renouveler leur réserves en gaz de 60% de la rôche "bernet sahle" idem pour canada et d'autres pays de l'asie.
tous ces travaux sont toujours précédés par des études d'impactes sur l'environnement et ces travaux sont trés couteux où on utilise la haute technologie que ce soit dans la phase exploration que ce soit dans la phase production. en ce qui concerne la france la production est interdité pour des considérations géologiques du bassin de paris; il s'avère que la nappe fréatique est proche et on risque de l'endommager dans la phase production.

bref, laissez les spécialistes travailler et n'essayer pas de créer des faux problèmes qu'on manque pas dans nos jours.
jusqu'a maintenant les gents qui ont intervenu dans les médias et qui se présentent défenseur de l'environnement n'ont rien à voir avec le domaine et d'aprés leur paroles ils disent des monsonges qui visent à tromper l'opinion publique et par conséquent sa prouve qu'ils ne sont pas des spécialistes.

L’autorisation est dÉjÀ attribuée à shell et non pas en cours d'étude...!

maintenant que ça c'est fait il ne reste plus qu'à espérer que les autorités de protection de l'environnement (tunisienne bien sur) fassent bien leur boulot de contrôle et sanctionne quand il le faut l'exploitant s'il dégrade notre cher environnement

Pourquoi shel n'a pas eu autorisation en france
ou bien vous voulez qu'on reste toujours zebala
alors ne soyez pas comme nida el monafikin qui ont vendu la tunisie a leurs maitres

Commentaires pleins d'hypocrisie , le gouvernement travaille pour rendre le pays prospere en respectant l'interet des futurs generations!

J'ai une remarque , dans ce type de sujet on trouve pas les commentaires des pro nakba(nahdha), ils sont démocrates loool.
apparement la tunisie ne les interressent plus , ils projettent aller vivre au katar

@nopasaran
ta 7asra 3la ben ali bel7a9

Quel misère. ils ne peuvent plus descendre aussi bas. ils nous prennent vraiment pour des cons. même ben ali n'a jamais fait ça incroyable.