Autant sur la déclaration du ministre sur la nécessité da'ccroître le prix des carburants, lancer une sorte d'emprunt national pour relancer l'emploi, faire contribuer les oligarques et autres parasites économiques, je comprends l'attitude du ministre. autant sur les salaires, je ne comprends pas. les salaires de beaucoup de tunisiens sont objectivement excessivement bas et ce n'est pas acceptable. un allègement (annulation) de la fiscalité
pour les bas et moyens salaires est une action que la gouvernement ne peut pas ne pas faire, alors que dans le même temps, le bassin minier de gafsa fonctionne au ralenti, que nous sommes en froid avec notre principal partenaire économique, la france, qui du coup freine le rapatriement des avoirs tunisiens détournés
... le gouvernement a le devoir moral et politique de régler ces problèmes. je ne dis pas que c'est simple, mais c'est le job de nos ministres. ce que dit le minsitre des finances à propos des salaires n'est pas acceptable : il y a un potentiel de gains de productivité énorme en tunisie si on accepte de mettre les salaires à un niveau convenable avec une formation continue et un cadre adéquats. maintenant, si c'est le boulet de l'effectif
pléthorique du public, il faut trancher dans le vif, alléger les effectifs et rémunérer corrcetement les gens qui créent des richesses et ont besoin de ressources pour élever dignement leurs enfants et vivre dans des conditions convenables. l'amélioration de la rémunération des tunisiens doit se faire dans le cadre d'un plan d'action global qui implique toutes les parties prenantes, syndicats, patronat, principaux partenaires économiques
européens, société civile ... mais la réponse du ministre n'est pas réaliste, contre productive et sans fondement.

C'est très clair de la part de mr le ministre des finances.

appel aux syndicats:
il faudra qu'ils cessent leurs pressions et leurs chantages. leur opportunisme est flagrant!!!

la priorité est de résoudre le chômage et la pauvreté.
ceux qui travaillent déjà doivent préserver leurs emplois sinon ils vont être remplacés par les chômeurs.