@LibreVotre mot d'ordre c'est l'insulte à tout va, vous représenter la Tunisie du bas et en plus mal éduqué, vous êtes ce qu'on appelle un boulet où mieux une âme perdu qui a toucher le fond, j'ai vraiment de la pitié pour vous, allez sans rancunes aucune , l'espoir fait vivre , ce qui n'est pas votre cas désespéré.

Honte à vous pour cette photo, honte à vous et a votre niveau de journalisme.

La Trahison

• Samir Dilou a protégé les criminels de Ben Ali en empêchant les tunisiens de réaliser leur Justice Transitionnelle,
• Samir Dilou a laissé ouvertes les blessures des tunisiens,
• Samir Dilou a trahi la révolution.

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Les forces d'inertie se mettent en place progressivement, elles essaient de faire la reproduction l'ancien, régime par différents agissements. Ce tollé contre "le livre noir"en est la preuve. Le Président de la République a été mandaté par le peuple, via l'ANC. Dans le Palais de Carthage, propriété dudit peuple, il existe des documents ayant trait à la vie de la population qui a subi la répression. Ce pauvre peuple est en droit de connaitre
une partie de la vérité (I), en espérant compléter par la "vérité (II), même si ces vérités provoquent des diarrhées, pour certains.

Bourghiba a construit le premier état tunisien

ben ali et son clans trabelsi ont détruis la première république

Marzouki va reconstruire le pays , bravo Mr le président bon courage et en avant

L'Afrique vient de perdre un homme ...un vrais batisant de vie et d'avenir ...une etoile que sa lumiere n'a pas eclairee les esprit des Tunisiens ...dommage ...L'avenir est pour ceux qui combattent pour le progres et la reconciliation.

Un deuxieme tome serait le bienvenue.

100 pour 100 vrai

Les archives sont la propriété du peuple,
Ce livre noir est tout simplement une pièce de plus entre les mains de l'ANC.
Maintenant il faut d'autres livres noirs, ''avocats, juges, administration publique, hommes d'affaires, syndicalistes,...’’. Il ne peut pas y avoir une justice transitionnelle, sans apporter cet éclairage médiatique, sans éclairer et informer l'opinion publique nationale et internationale, le peuple tunisien pourra ne pas comprendre certaines condamnations le jour où cela arrivera. L'éclairage médiatique est une nécessité.
Donc la machine médiatique de la révolution doit se mettre en route, et chaque institution doit sortir un document noir, puis il peut y avoir une justice transitionnelle générale et globale en termes de processus judiciaire et qui sera mené uniquement par l'état, et non par des institutions en solo.
Les archives sont ma propriété du peuple, mais comment s’en saisir ?
Aujourd’hui la justice est entre les mains des certaines factions politico idéologiques à intérêt partisan.
Aujourd’hui, les medias nationaux sont entre les mains des mêmes factions politico idéologiques à cet intérêt partisan, et même très sectaire,
Aujourd’hui ces ne sont pas les hommes d’affaires influents qui vont s’allier à la cause du peuple, et aux objectifs de la révolution,
Donc il reste quoi au peuple ?
Il reste qui au peuple ?
Ma réponse :
Il reste au peuple, ces élu-e-s, à l’Anc, pour travailler sur sa nouvelle constitution, pour veiller à qu’une justice transitionnelle soit mise en action, et afin de produire un socle des mécanismes d’une nouvelle gouvernance dans l’objectif d’apporter plus plus de possibilités de contrôle démocratique au niveau des politiques publiques (dépenses et grandes orientations). Mais aussi afin que le financement des partis politiques et de la
société civile soit plus plus transparent. Et tout cela pour construire une réelle rupture avec les manières du passé (de la dictature, de la marginalisation et de la spoliation).
Donc ce livre noir est une réelle nécessité afin que le peuple soit informé, et qu’il s’en saisit de ces archives, non pas à travers des punitions à tout va, non, mais c’est un éclaircissement nécessaire qui aidera la justice de faire sont travail, avec plus de transparence.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.