«Ces revendications relatives à des questions autour desquelles il a y eu un accord avec le ministère, estime-t-il, sont du ressort des administrations relevant du ministère de l'Education », a indiqué le responsable syndical, ajoutant « qu'elles ne nécessitent pas la signature du ministre puisque les directeurs régionaux peuvent y trancher ».

Plusieurs retraités du secteur de l'Education se trouvent à ce jour sans pension en plus des promotions qui n'ont pas été revues à cause du refus du ministère d'appliquer les accords précédents, a-t-il encore souligné.

A l'issue de la réunion de mardi, a-t-il dit, un appel sera lancé pour une réunion de l'instance administrative sectorielle laquelle décidera une série de mouvements syndicaux au sein du secteur qui pourraient aboutir jusqu'au boycottage des examens et la grève administrative.