@universitaire
cher professeur, permettez-moi de vous signaler que le problème est bien la personnalité de mr jrad et de ses acolytes, et c'est bien la complicité qu'ils établissent avec tous les gens du pouvoir pour bien se servir et pour placer leur progéniture et leurs clans. c'est simple : les alliances des dirigeants du syndicat des travailleurs sont des "arrangements gagnats-gagnants" et ne servent que les intérêts de ces mafieux et des gouvernants ;
si on les fâche, la menace fuse et gare au gouvernement, cela peut aller jusqu'à la confrontation armée. si l’on compte bien, les grèves sont d'ailleurs plus fréquentes pour assurer la supériorité de ces bandits au dessus des lois que pour défendre la cause des travailleurs et des sans-travail.
vous avez par contre raison en relevant le pouvoir de nuisance de l'ugtt. comme les travailleurs sont maintenant dans le creux de la vague, qui pour revenus désespérément au dessous du coût de la vie, qui pour absence quasi-totale de revenus, en raison du chômage aggravé, les futurs pensionnaires de carthage et de la kasbah devraient tout faire pour débarrasser les travailleurs de ces sangsues. la situation ne sera pas plus grave qu'elle ne
l'est. si briki veut mettre en action sa "machine" pour mettre le pays à feu et à sang comme il a menacé, il faudrait faire en sorte qu'il reçoive le boomerang dans la figure. le moment est propice, compte tenu du fait qu'une bonne partie de l'opinion n'apprécie pas l’arrogance de l’ugtt justement et que, presque tous, nous sommes convaincus de la corruption de ses chefs et sous-chefs.
les travailleurs méritent une bien meilleure organisation "travailleuse".
jrad nie que l’ugtt ait une relation quelconque avec les grèves récentes, alors que fait-elle dans ce cas ? عبد السلام جراد : المنظمة الشغيلة شريك في بناء المستقبل دون أن تكون طرفا في الحكومة المرتقبة
il appelle les travailleurs à aider le futur gouvernement, c’est bien la preuve de « l’entente cordiale » qui vient d’être passée entre jebali et consorts avec la mafia, dans le même style que sous zaba. rien n’a encore changé.