Aicha Skandrani : « vers la lumière et son invisible »…
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Publié le Jeudi 13 Decembre 2007 - 00:00 (Archives)
Lecture 2 min, 45 sec
Aicha Skandrani a fait de ces interprétations une traduction artistique, une histoire de complicité personnelle, presque mystique. Cette jeune artiste est née en Tunisie, c’est de là qu’elle puise son amour pour la lumière, ou comment en déchiffrer les mille et un mystères comment faire apparaître la clairvoyance du clair-obscur. Ou comment l’insignifiant caché dans l’ombre, devient signifiant, car irradié.
Formes troublantes, sur leur sillage, chaque lumière a son histoire, qu’elle soit de Tunis, Vérone ou Venise, elle est propre et distincte à la fois.
De ses passages entre la Marsa, Los Angeles, puis Toulouse et finalement Paris, l’artiste a évolué au gré d’une formation à l’IESA et d’une réflexion personnelle originale. C’est donc dans le cadre de son projet d’études, qu’elle exposera prochainement à Paris, sur la thématique du « Sens et de l’Essence ».
Son objectif ne la quitte jamais, fidèle compagnon indéfectible, qui lui a inspiré des tableaux magnifiques où elle a pu capturer des effets d’optiques transmis par la lumière aspirée à une très grande vitesse.
Ce mois d’octobre 2007, autour d’une soirée VIP dans la Boite très branchée de la Capitale, le White House, la jeune artiste a choisi de partager son Art, en faisant la projection de ses derniers clichés, sous la thématique de la « tri-spiritualité » où les trois religions se rejoignent, pour ne faire qu’un. Beau message d’humanité et de paix, lancé par une jeune génération qui bien qu’insouciante, n’est pas déconnectée des tragédies de notre monde.
Cette thématique des messages à la lumière et à la paix universelle, est comme nous l’a expliqué l’artiste, une façon de rappeler l’importance de dialoguer entre les cultures et les religions pour se fondre et se joindre dans une culture de l’humanité universelle. « S’éclater dans cette recherche infinie de la complémentarité et la différence de l’autre » il faut le croire, Aicha Skandrani en a fait sa quête personnelle. Alors même si pour certains regards son Art pourrait paraître pure excentricité, il n’est pas moins un langage intérieur, très personnel et qui permet à chacun de laisser vagabonder son imagination pour une interprétation individuelle.
« Il faut toujours garder la foi et croire en la paix intérieure » une préoccupation que ne cesse de revendiquer l’art si particulier de Mlle Skandrani. Un clin d’œil à la spiritualité qui se cache en chacun de nous, et qui refuse tous les amalgames que les trois religions monothéistes ont toujours véhiculé. La paix et l’amour du prochain, n’ont ni couleur ni appartenance religieuse ou culturelle, elles n’ont pour seul langage que l’interaction humaine dans sa plus grande diversité. Et pour Aicha, l’art est ce langage.

Credits :
Courtesy Press : F.B.G Communication
www.fbg-communication.com
نشر هذا المقال في - First published on: 13 December, 2007
Par Fériel Berraies Guigny. Paris - Il est des mondes, des histoires intérieures, des émotions ultra sensibles que l’on ne distingue pas toujours. Du monde des visibles, les formes et les images sont des acquis, et l’on finit par ne plus y prêter attention.
La lumière, les formes et ombres que l’on aime reconnaître au travers de ce qui nous est familier, quels messages presque divinatoires nous offrent ils ?
La lumière, les formes et ombres que l’on aime reconnaître au travers de ce qui nous est familier, quels messages presque divinatoires nous offrent ils ?

Aicha Skandrani a fait de ces interprétations une traduction artistique, une histoire de complicité personnelle, presque mystique. Cette jeune artiste est née en Tunisie, c’est de là qu’elle puise son amour pour la lumière, ou comment en déchiffrer les mille et un mystères comment faire apparaître la clairvoyance du clair-obscur. Ou comment l’insignifiant caché dans l’ombre, devient signifiant, car irradié.
Formes troublantes, sur leur sillage, chaque lumière a son histoire, qu’elle soit de Tunis, Vérone ou Venise, elle est propre et distincte à la fois.
De ses passages entre la Marsa, Los Angeles, puis Toulouse et finalement Paris, l’artiste a évolué au gré d’une formation à l’IESA et d’une réflexion personnelle originale. C’est donc dans le cadre de son projet d’études, qu’elle exposera prochainement à Paris, sur la thématique du « Sens et de l’Essence ».
Son objectif ne la quitte jamais, fidèle compagnon indéfectible, qui lui a inspiré des tableaux magnifiques où elle a pu capturer des effets d’optiques transmis par la lumière aspirée à une très grande vitesse.
Ce mois d’octobre 2007, autour d’une soirée VIP dans la Boite très branchée de la Capitale, le White House, la jeune artiste a choisi de partager son Art, en faisant la projection de ses derniers clichés, sous la thématique de la « tri-spiritualité » où les trois religions se rejoignent, pour ne faire qu’un. Beau message d’humanité et de paix, lancé par une jeune génération qui bien qu’insouciante, n’est pas déconnectée des tragédies de notre monde.
Cette thématique des messages à la lumière et à la paix universelle, est comme nous l’a expliqué l’artiste, une façon de rappeler l’importance de dialoguer entre les cultures et les religions pour se fondre et se joindre dans une culture de l’humanité universelle. « S’éclater dans cette recherche infinie de la complémentarité et la différence de l’autre » il faut le croire, Aicha Skandrani en a fait sa quête personnelle. Alors même si pour certains regards son Art pourrait paraître pure excentricité, il n’est pas moins un langage intérieur, très personnel et qui permet à chacun de laisser vagabonder son imagination pour une interprétation individuelle.
« Il faut toujours garder la foi et croire en la paix intérieure » une préoccupation que ne cesse de revendiquer l’art si particulier de Mlle Skandrani. Un clin d’œil à la spiritualité qui se cache en chacun de nous, et qui refuse tous les amalgames que les trois religions monothéistes ont toujours véhiculé. La paix et l’amour du prochain, n’ont ni couleur ni appartenance religieuse ou culturelle, elles n’ont pour seul langage que l’interaction humaine dans sa plus grande diversité. Et pour Aicha, l’art est ce langage.

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