ãÇ ÏåÇß íÇ ÃÎí ÚãÇÏ¿
ÃÎÊß ÌæÏÇ ãä Ãåá ÇáäøÍæ ÇáÔøÏÇÏ
ÝáÇ ÊÎÇÝ Ýíå ãäß ÚäÇÏ
æáÇ ÌæÑÇ æ áÇ ÅÓÊÈÏÇÏ
ÃÚáøãß æ ãÚÇß ßáø ãä Ýí ÇáÈáÇÏ
Åäøß ÊÚíÔ Ýí ãíáæÒó ÇáÃÈÚÇÏ
æáíÓ áß Ýí áÛÊäÇ ÅãÊÏÇÏ
ÈÇÊ ÏãÇÛß ÇáÚÑÈíø ÑÞÇÏ
æÃÝÇÞ Úáì ÌÑÓ ßäíÓÉ ÇáãáÍÇÏ
ÃÑÏäÇß áÍÖÇÑÊäÇ ÅãÊÏÇ
ÝÕÑÊ æ ÑíÊÔí áÔÞÑæÇÊ ÝÑäÓÇ ÚÈøÇÏ
ÃÒíÏß Ãã íßÝíß ãä ÔÚÑí ÑßÇÏ¿
ça rime bien, c'est fun, mais, c'est plutôt du ÓÌÚ sur le mode de la maqâmât que de la poésie!!!
Le terme de maqâmât, que l'on traduit par "séances", désigne un genre littéraire arabe classique, développé au Xe siècle. Il est composé de récits courts,drôles et indépendants en prose rimée avec des insertions de poésie. Les Maqâmât d'al-Harîrî, par exemple, narrent les aventures de deux protagonistes : le narrateur al-Hârith (jouda) et le héros Abû Zayd (imed), vagabond bohême et fripon dont les tribulations à travers le monde sont l'occasion de portraits ironiques et d'anecdotes croquées sur le vif. Très appréciées pour leur humour, c'est une prouesse stylistique amusante et intraduisibles. Traduite, ça ne veut strictement rien dire.
Par rapport rapport à la grammaire ÇáäÍæ æÇáÚÑæÖ la perspective semble prometteuse!!!!
wazzana kabira æÒÇäÉ áÇ ãËíá áåÇ
ÃÒíÏß Ãã íßÝíß ãä ÔÚÑí ÑßÇÏ¿
La forme interrogative n'est pas tout à fait au point
æíÍß íÇ ÃÎÊÇå