Tunisie: Annonce officielle de la création d'un ''syndicat des forces de sécurité intérieure et des douanes''

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Tap - La création d'un nouveau "Syndicat des forces de sécurité intérieure et des douanes" a été officiellement annoncée, mercredi, en conférence de presse, à Tunis.
La composition du comité directeur de la nouvelle structure a été dévoilée au cours de cette conférence de presse, a appris l'agence TAP auprès du porte-parole du syndicat de fonctionnaires de la direction générale des unités d'intervention, Mehdi Bachaouch, qui a précisé que ce même comité constitutif présidera aux destinées du syndicat jusqu'à la date de son congrès électif, probablement en juillet 2014.

Ledit comité directeur comprend le secrétaire général du syndicat des fonctionnaires de la direction générale des unités d'intervention, Lassad Kchaou, le chef du " bureau exécutif du syndicat des douaniers", Mohamed Ghodhbane, le secrétaire général du " syndicat général de la Garde nationale ", Sami Gnaoui, auxquels s'ajoutent la secrétaire générale du comité constitutif du syndicat général des fonctionnaires des établissements pénitentiaires et de rééducation, Olfa Ayari, le coordinateur général du syndicat de la protection civile, Abdelmajid Khalfalli et le secrétaire général du syndicat de la direction générale des services communs, Chawki Ben Slimène.
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A une question concernant la représentativité de la structure syndicale nouvellement constituée, Bachaouch a indiqué que tous les syndicats sécuritaires, "sans exclusive", seront conviés à rallier le nouveau syndicat.
Selon lui, le "syndicat national des forces de sécurité intérieure" a "explicitement" décliné l'offre, et l'Union des syndicats des forces de sûreté tunisienne ne s'est pas encore prononcée.




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Comments


4 de 4 commentaires pour l'article 75498

Alhoudaep  (Tunisia)  |Jeudi 28 Novembre 2013 à 08h 12m |           
بكلّ صراحة أصبحت كلمة نقابة ممجــــــــــــــوجة و مقـــــــــــــــــرفة وعنوانا للتّشليــــــــــــــك الكثر وقلّة البركة تخمة من النقابات والنافع الله ومن بعد يدورو على بعضهم يكسّروا في بعضهم وكل واحد يقلّك منّي تقرع الى أن اصبحنا نعومو ونغطسو في النقابات والصحيح يجيبوا ربّي

Artiz  (China)  |Jeudi 28 Novembre 2013 à 06h 25m |           
Ca explique deaux particularites che le tunisien :primo il aime le pouvoir d ou il y a eu creation d une multitude de partie politiques ,secondo il est feignant d ou il multiplie a tort et a travers les syndicats pour plus de greve et plus de journees sans rien faire

Mandhouj  (France)  |Mercredi 27 Novembre 2013 à 22h 57m |           
Dialoguer, c’est se connaître, et se connaître c’est vivre en sécurité.
- Le droit à l'opposition est un droit légitime et incontestable. Et la légitimité naturelle de ce droit à l’opposition est inscrite et signée par la révolution et le sang de ses martyrs,
- Le droit a détruire son pays n'existe pas,
- La démocratie n'est pas que des élections transparentes et libres, c'est toute une panoplie des choses:
- Des mécanismes qui garantiront le contrôle démocratique de l'action publique, de l'action des associations, et puis c'est un projet qui garantit la participation de l'opposition à travers la vie nationale. Comment produire ce projet? C'est autour des consensus et des discussions De tous les partis, de toutes les variétés de la société civile,
- La Tunisie passe par une période de construction démocratique, c'est à tout le monde de participer, sans haine ni exclusion,
- Nos médias publics et privés doivent participer dans ce projet en favorisant le débat démocratique. C'est une responsabilité historique,
- Nos médias ont joué un très mauvais rôle, il est temps qu'ils travaillent dans un esprit de maturité démocratique,
- Le dialogue profond est une nécessité. Nous avons vécu plusieurs décennies sans un réel profond et libre dialogue. Depuis la révolution, les tunisiens ont beaucoup échangé, discuté ; il est vrai dans un climat de tiraillement et tous ils endossent la responsabilité. Ce pendant les idées des uns et des autres sont claires, et dans le fond nous sommes tous ‘’en majorité’’ d’accord sur certains fondamentaux qui font société de bien vivre
ensemble ‘’ la tolérance, non à l’extrémisme laïque ou religieux, non au terrorisme, oui au progrès, oui à notre identité musulmane et ses valeurs civilisationelles et universelles’’. Osons le dialogue, c’est osons le progrès, c’est osons les exigences de la démocratie élective, avec le dialogue nous serons davantage capables de se définir dans une Tunisie plurielle au sens de la force du plurielle et non pas au sens de la division,
- Osons la démocratie, osons comprendre les réels enjeux, les rcdistes n'ont pas à retourner au pouvoir, la justice transitionnelle doit TROUVER son modèle d'application, osons un consensus pour la justice transitionnelle.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.
http://www.babnet.net/rttdetail-72038.asp

Antligen  (France)  |Mercredi 27 Novembre 2013 à 20h 38m |           
نقابة دجاج جديدة.


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