«Cette décision découle de la nécessité de protéger le Liban, son Etat, et sa population », a-t-il affirmé.

Parmi les principaux candidats à la course présidentielle, figurent Salir Geagea, le dirigeant du parti des Forces Libanaises, ainsi que le député centriste, Henri Hélou, qui bénéficie du soutien du leader druze Walid Joumblatt.

Quant à Michel Aoun, Il a dirigé les armées libanaises (1984-1989), avant d’assumer les fonctions de chef du gouvernement intérimaire de 22 septembre 1988 au 13 octobre 1990. Il est le président du Courant patriotique libre depuis 1992.

La présidence libanaise est vacante  depuis le 25 mai 2014. La dernière séance électorale avait échoué, le quorum n’ayant pas été atteint. Un prochain scrutin est prévu le 31 octobre courant.