Activités culturelles variées pour les Journées de la francophonie

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A l'occasion de la célébration des Journées de la francophonie (20 mars), plusieurs activités culturelles sont au programme à partir du 25 et jusqu'au 28 mars dans plusieurs espaces à Tunis.

Remise des prix de la dictée
La cité des sciences de Tunis (CST) accueillera le vendredi 25 mars à partir de 13h00, enseignants et amoureux de la langue française pour la cérémonie de remise des prix de la dictée organisée par l'agence tunisienne de coopération technique, le ministère de l'éducation et l'association tunisienne pour la pédagogie du français.
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La cérémonie sera une occasion pour rencontrer Rudy Demotte, ministre-président de la Fédération Wallonie Bruxelles ainsi que les ambassadeurs des pays francophones actifs en Tunisie.

Essayistes bruxellois autour de Gilbert Naccache
Le vendredi 27 mars, deux essayistes bruxellois prendront part à la rencontre organisée à 15hOO par le Centre d'études de Carthage, (centre ville) autour de Gilbert Naccache qui vient de publier un livre Comprendre m'a toujours paru essentiel .

Il s'agit de Pierre Ansay, sociologue passionné du philosophe Spinoza comme penseur du politique, connu comme un personnage ayant réussi le pari de rendre accessible une oeuvre complexe, mais si riche de suggestions pour gouverner sa vie.

Quant à Henri Goldman, rédacteur en chef de la revue politique Belge, il se site à la croisée des courants de la gauche belge.

Il est l'auteur du Rejet français de l'Islam (2012) et d'un livre émouvant sur sa mère Deux ou trois choses de Sonia et du monde (terrorismes de la mémoire 2010).

Le Théâtre de l'Ancre à la salle 4ème art
Le samedi 28 mars, le Théâtre de l'Ancre (Charleroi, Wallonie) jouera à 18h00 à la salle 4ème art Un homme debout dont le quotidien Belge Le Soir a écrit Avec un feu troublant dans le regard, Jean Marc Mahy captive les spectateurs et le Figaro conclut Une grande leçon humaine, sociale et politique à méditer

Serge Noel à Ennejma Ezzahra
A 20h00, le palais Ennejma Ezzahra accueillera une soirée rassemblant musiciens et poètes dont le poète et romancier belge Serge Noel.

L'initiative est portée par l'association Tounes wel Kiteb et plus particulièrement son animateur Moez Majed.





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Comments


1 de 1 commentaires pour l'article 101808

Azzah  (France)  |Jeudi 19 Mars 2015 à 18h 24m |           
C'est déplorable que notre pays continue de ramper devant la France et ce qui symbolise de nos jours son esprit colonialiste : la francophonie.

la francophonie, politique voulue par Mitterrand, pour maintenir l'empire colonial français encore vivace malgré les guerres d'indépendance. Quoi de mieux que de museler "l'élite" d'un pays pour en faire son meilleur allié dans le maintient de son colonialisme. ce mot "élite" je l'ai entendu plusieurs fois repris par des socialistes dans les années80 quan, en france, certains français dénonçaient la politique de "francophonie"
qu'eux-mêmes déjà voyaient comme le gant qui maintient les anciennes colonies toujours sous (réel) colonialisme.

Il y a une grande différence entre "Langue française" et "francophonie"; le 1er terme ne contient aucunement la volonté de soumettre l'autre à sa politique d'ingérence et de colonialisme culturel; le second oui, et en cela je le vois identique à l'évangélisation rampante que notre pays a connu sous "protectorat" (quel mot horrible) français : imposer le français pour repousser l'arabe aux oubliettes, l'arabe n'étant vu non seulement
comme langue à bannir pour elle-même mais aussi et surtout parce qu'elle est la langue de l'Islam, et ainsi arriver à faire basculer le pays d'islam en christianisme.

Notre gouvernement a vraiment tort de courber l'échine tant d'années parès que les Tunsiens ont noblement combattu le colonialisme français, quel manque de repsct pour ces hommes, pour notre identité, pour notre volonté d'indépendance.

La France ne célèbre aucunement l'arabophonie ou la langue arabe (devenue langue rare depuis Mitterrand, alors même que le regroupement familial aurait dû en favoriser l'enseignement - ce qui aurait évité à bcp de jeunes de sombrer dans la délinquence que provoque le désarroi identitaire)


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