Il s'agit, également, a-t-il dit d'étudier les moyens d'empêcher une intervention militaire en Libye qui aura des conséquences importantes sur la Tunisie avec l'arrivée massive de réfugiés et l'éventuelle infiltration d'éléments terroristes; ce qui ne manquera pas, selon lui, de compliquer davantage la situation sociale et sécuritaire précaire dans le pays.

Sur un autre plan, le secrétaire général du Mouvement Echaab a appelé à l'organisation d'un dialogue national sur les priorités sociales, le nouveau modèle de développement, la question de l'emploi, la souveraineté nationale, la sécurité et le terrorisme.

Il a imputé au gouvernement la responsabilité de la situation de crise que vit le pays en raison de ses « orientations corrompues », déplorant l'état « désordonné » du paysage politique.